Chaton de laboratoire

Catégories : Enema Lavement / Médical
il y a 2 ans

Le médecin s'assied en face de moi, sur un tabouret, près du lit de consultation. Mes pieds pendouillent dans le vide.

  • Âge ?
  • 18 ans. Il consulte ma fiche d'inscription - flippante, la fiche, surtout la décharge au cas où les tests de médicaments tourneraient mal et l'autorisation d'intervention chirurgicale d'urgence en cas d'incapacité à répondre. Mais j'ai besoin de thunes.
  • Depuis 3 jours ? Je suis nerveuse.
  • Oui. Mon coeur bat trop vite. Il faut que je me calme - s'il pense que je fais de la tachycardie, il ne me prendra pas pour son protocole, quel qu'il soit.
  • Pas de traitement médical ? Pas d'allergies ? Problèmes cardiaques ?
  • Non. Il continue de détailler ma fiche.
  • Déshabillez-vous complètement. Je hoche la tête. J'ôte mon haut, mes baskets, mon jean. Je tremble un peu. Il m'observe, prend des notes.
  • Vous êtes très rousse. Vous avez toujours eu autant de taches de rousseur ? -Oui. J'ai la peau très blanche, constellée d'une myriade de taches de son. papa m'appelle Làctea. La Voie Lactée.
  • Jamais plus ? Pas de dépigmentation récente ? Aucun grain de beauté qui a changé de couleur, ou qui est devenu douloureux ?
  • Non, pas que je sache. Encore quelques notes sur sa fiche.
  • Voyons vos seins. J'hésite un court instant... ...puis je passe les bras dans mon dos et dégrafe mon soutif, en écartant mes longs cheveux. Je l'ôte, une bretelle après l'autre. Il se penche, me prend les seins du bout des doigts, les palpe comme le font les médecins, je regarde ailleurs.
  • Gros, fermes, doux. Il griffonne encore, puis les reprend dans ses mains en les caressant moins... médicalement. Je tourne les yeux vers lui, sans rien oser dire. Je sens les pointes épaisses durcir involontairement. Il saisit les mamelons roses et me pince les tétons. Je tressaille.
  • Sensibles ? Je hoche la tête positivement en silence.
  • Très bien. Encore beaucoup de taches de rousseur et de grains de beauté. Vous avez une belle poitrine, mademoiselle. Il retire ses mains. Je ne sais pas si j'en suis soulagée ou non. Ça commençait à me plaire.
  • Mer..ci. Il passe un gant en plastique fin.
  • Ôtez votre culotte. Je m'exécute après un nouvel instant d'hésitation. Je me sens toute nue, juste avec mes socquettes. Je suis toute nue, en fait.
  • Ecartez un peu les cuisses. Ça ne fera pas mal. J'obéis encore. Il glisse son majeur ganté dans mes poils roux. Directement dans mon vagin ! Je lève les yeux au plafond, pour ne pas voir. Et j'essaye d'ignorer que ça me plaît aussi. Et je fais taire le gémissement qui menace de sortir de ma gorge.
  • Vous avez toujours autant de sécrétions vaginales lorsque vous êtes excitée ? Je sens mes joues qui chauffent un peu. Ma voix est étriquée et tendue lorsque je réponds. J'ai du mal à garder le contrôle.
  • Non. Je... euh... j'en ai plus que là.
  • Davantage encore ? J'acquiesce timidement. Il le note de la main droite dans le cadre réservé aux médecins, sans retirer son doigt de ma minette. Il s'arrête soudain dans un endroit précis. Je frissonne et me tends, en espérant qu'il n'ait pas remarqué les ondulations involontaires de mon bassin qui l'accompagnaient dans son exploration - qu'est-ce qu'il va croire si je l'incite à continuer ? Il fronce les sourcils et ôte sa main. Mon corps proteste. Je me mords la lèvre pour ne pas le montrer.
  • Vous êtes vierge ? Cette fois, je pique un fard.
  • Oui. Il se lève et pose sa fiche et son crayon.
  • C'est dommage, vous êtes une candidate idéale. Vous êtes jeune, jolie, vous avez des seins très sensibles, et beaux, il me faut bien le concéder. Votre rousseur très prononcée est évidemment essentielle et vous avez une production de cyprine impressionnante... mais pour participer au protocole, il ne faut pas que le sujet... que le candidat... soit vierge. Vous pouvez vous rhabiller. J'ai eu quelques sueurs à la description qu'il a faite de moi - je ne connaissais pas le mot "cyprine", mais je devine son sens. Je suis flattée malgré moi.
  • Docteur... j'ai besoin de ce job... si ce n'est que ça, je peux trouver un copain qui...
  • Avant demain ? Je le regarde sans comprendre.
  • Demain ?
  • Le protocole commence demain, nous vous l'avons dit ce matin. Personne ne m'a dit ça ! Je réfléchis rapidement. C'est un problème. Je me vois dire la phrase sans savoir comment elle me vient aux lèvres.
  • Vous pourriez le faire. Il hausse les sourcils.
  • Je vous demande pardon ? Je gonfle la poitrine. Un sourire faible.
  • Vous êtes un homme. Je suis nue. Je pourrais...me laisser faire et... Il m'interrompt.
  • La déontologie... J'écarte les cuisses et passe un doigt dans mes poils roux. Ma voix me semble toute petite. Mes joues me brûlent.
  • Je ne le dirai à personne. Juste vous et moi. Il me regarde. Je suis belle. Je le sais. Je murmure:
  • Ce n'est pas tous les jours qu'une jeune fille vous implore de prendre sa virginité... S'il-vous-plaît ? Je ne crois pas à ce que je suis en train de faire. Il hoche la tête.
  • Très bien. Il va fermer la porte du cabinet. J'ai le coeur qui s'emballe. Je suis folle ! Il approche, l'air sérieux, ouvre son pantalon de toile, le baisse et sort son pénis dressé.
  • J'ai souvent rêvé de faire ça... Il humecte son sexe dans mes poils, trouve ma fente chaude et trempée. J'ai la respiration haute. Il pose ses lèvres sur les miennes.il sent le bois, l'été. Je ferme les yeux. Sa langue est douce. Les sensations sont incroyables ! J'ai envie ! Je sens mon abricot couler autour de la queue qui assouplit mes chairs tendres, j'accompagne ses mouvements des miens, je serre mes cuisses autour de son bassin, il donne un coup de reins et me pénètre lentement.
  • Ahooo.... Je perds pied. Je sens chaque centimètre de son sexe écarter mes plis, reculer, revenir plus loin, je tressaute sous les assauts du plaisir totalement inattendu qui me saisissent du minou aux reins, je m'agrippe à lui, il s'écarte et revient encore plus profond, une chaleur liquide coule de ma fleur ouverte. Il chuchote.
  • Techniquement... vous n'êtes...plus vierge...est-ce-que...je m'arrête ? Je devrais dire oui. Mais je l'embrasse avec force et je gémis:
  • Non !

Il entre à nouveau en moi en souriant benoîtement et me saute en me massant les seins, subjugué par leur taille, par la manière dont les tétons durcissent sous ses doigts, je tremble et je ferme les yeux, en m'allongeant lentement sur la table d'auscultation, terrassée par les vagues euphoriques qui me transpercent le corps de part-en-part. Sa queue est épaisse, je suis étroite, trop étroite pour lui, je le sens lutter pour me prendre, pour ne pas venir trop tôt, je me crispe à chacun de ses coups de reins, il me grimpe dessus, s'affale sur moi, j'écarte encore les cuisses, l'accueille plus loin que je ne l'aurais cru possible, je le veux entier, le plaisir est à ce prix.

Je me cambre soudain, tremblant de tout mon corps, j'ai des fourmis partout, des orteils à la tête, je me laisse aller à ce premier orgasme, cette première fois inoubliable. Il se redresse et m'empale de plus en plus vite, de plus en plus fort, je suis en état de choc, c'était trop bon, trop puissant. Il se cabre soudain et déverse son plaisir au fond de moi, les jets chauds me caressent, me remplissent, augmentent mes sensations, je l'attire à moi et force ma langue dans sa bouche, je ne suis plus vierge, il est mon premier, pour la vie. Il me remercie en m'embrassant longuement, avant de se retirer, je me sens toute molle. Je le regarde me nettoyer, mais il cache les lingettes qu'il utilise, je ne sais pas si... si je suis beaucoup tachée ou non. Il m'embrasse à nouveau.

  • Rhabillez-vous, je vais chercher mon agenda pour noter votre heure d'arrivée demain. Je me rhabille lentement, seule dans la pièce. Culotte. Soutif. Je suis toute molle.
  • Bonjour. Une infirmière entre et se saisit de la fiche du médecin.
  • Vous venez pour les tests du nouveau dentifrice ? J'écarquille les yeux.
  • Den...tifrice ? Elle sourit.
  • C'est indiqué sur votre fiche. Demain, 15h. Test Fluoriscine. Je hoche la tête sans répondre. -A demain alors. Elle sort. Pourquoi diable faut-il que je ne sois plus vierge pour... Oh. Bien sûr. Le médecin entre, son agenda à la main.
  • Demain, 15h, je vous revois ici. Prenez cette pilule en sortant pour éviter tout désagrément... Il me tend une gélule. Je continue de me rhabiller en souriant.
  • Docteur, je crois qu'il faudrait que je vous voie dans la matinée...
  • Mmm ? Et pourquoi ça ?
  • Pour le test de votre... dentifrice... j'aimerais me brosser les dents avec votre... brosse-à-dents... Il pâlit.
  • Je... Je lui mets un doigt sur les lèvres, avant de l'attirer à moi. Il sourit, l'air encore embarrassé, mais le baiser est doux. Je crois que je vais adorer me brosser les dents demain...

Je rajuste ma blouse. Il paraît que le chef de service est particulièrement pointilleux sur les uniformes des personnels hospitaliers. Je n'ai pas envie de savoir si c'est vrai ou non. J'essaye pour la énième fois de couvrir mes cuisses, c'est fou qu'ils les fassent si courtes, ces blouses - et si serrées aussi, j'ai la poitrine comprimée lorsque j'attache tous les boutons. Le tissu fin semble prêt à se déchirer sous la pression ! Bon, je dois avouer, la tenue met mes seins bien ronds et mes fesses généreuses en valeur, mais ce n'est pas exactement le but, non ? Je cogne à la porte.

  • Entrez. J'obtempère.
  • Vous avez demandé une infirmière, Dr J. ? Il lève les yeux du dossier qu'il tient entre ses mains. Il est grand et bien fait, plutôt mignon. Le genre d'homme qui me plaît. Je suis contente que l'uniforme me seille ainsi, finalement.
  • Mmm ? Oh, oui, exact. Venez ici. Je m'approche du bureau. Il fait glisser le siège de cuir, écarte les cuisses et ouvre son pantalon. Son pénis est long, mat et... en érection.
  • Docteur ? Un... un problème ? Il sourit.
  • Oh, rien qui ne puisse se résoudre rapidement. J'ai besoin d'une fellation. J'écarquille les yeux. Il se masturbe lentement en me détaillant de haut-en-bas. Il a l'air d'aimer mes seins. Mes jambes, aussi. Je devrais partir. Mais je ne fais que le regarder, abasourdie.
  • Pardon ? Il sourit. Définitivement mignon dans son genre. J'ai chaud.
  • Je vous en prie, agenouillez-vous. Et écartez un peu votre blouse, que je profite de vos obus. Je pouffe nerveusement. Pourquoi donc ai-je envie d'obéir ? Je secoue la tête.
  • C'est ridicule. Il presse ses bourses entre ses doigts fins et me montre toute la vigueur de sa queue, longue et veineuse. Je déglutis. J'en ai l'eau à la bouche. Il ne se démonte pas.
  • Voyez-vous, j'opère dans une petite heure cette actrice de films osés qui est arrivée ce matin... Je hausse un sourcil.
  • La patiente de la 343 ? Mammoplastie ? Il hoche la tête.
  • Exactement. Je ne peux pas l'opérer en ayant envie de lui grimper dessus, pour parler poliment. Alors... Il me tend à nouveau son pénis turgescent. Je m'humecte les lèvres.
  • Vous pourriez vous masturber ? Il grimace.
  • Je l'ai fait. Mais elle est trop... efficace... visuellement. On sous estime souvent l'attirance de l'homme pour un vagin de femme étroit et épilé. Je fais mine de ne pas comprendre. Son sexe m'obsède. J'ai du mal à le quitter des yeux.
  • Pardon ? Il se caresse d'un air absent.
  • Elle est trop belle, trop sexuelle. C'est pour ça que je vous ai choisie, vous. Vous êtes son pendant parfait. Je rougis un peu. Le toupet de ce type !
  • Docteur... Il se mord la lèvre en me détaillant de haut en bas.
  • Vous êtes sublime. Vos gros seins feraient rêver un homme avec la libido d'un mollusque... alors moi... Je ris malgré moi, outrée et flattée à la fois.
  • Quel compliment ! Il continue.
  • Taille fine, mais hanches larges qui s'ouvrent sur un cul digne des Dieux de l'Olympe. Du moins digne de ceux qui aimaient les culs... vous savez ce qu'on dit des grecs. Encore que ces grecs aiment les culs. Mais pas le vôtre. Ceux de leurs compatriotes virils, plutôt. Je pouffe.
  • Vous ne manquez pas d'air. Il pointe sa verge vers moi.
  • Si, justement... Vous ne voudriez pas souffler un peu pour me regonfler...?
  • Je suis mariée, vous savez ? Il lève les yeux au ciel.
  • Doux-Jésus, j'ai bien cru que vous alliez me dire que vous étiez grecque ! J'ai du mal à contenir mon amusement.
  • Grecque, non. Mariée, oui. Il secoue la tête en soupirant.
  • Encore une romance qui tombe à l'eau à cause d'un menu détail. Il me fait rire !
  • Une romance ? Il me regarde comme si j'étais une idiote.
  • Allons, je ne veux pas vous épouser, juste que vous me soulagiez un peu pour que je ne succombe pas au péché de la chair lorsque je vais opérer la sublime actrice porno de mes rêves... Mon coeur se met à battre plus vite.
  • Et mon mari ? Qu'est-ce que je lui dis ? Il hausse les épaules en se masturbant.
  • Techniquement... C'est du secret médical. Ou... vous lui dites la vérité: votre boss avait un besoin pressant et...
  • "Techniquement" vous n'êtes pas mon boss. Je fais un pas vers lui.
  • Lorsque vous m'aurez dans la bouche, qui s'en souciera encore ? Ce n'est pas moi qui essaye de sauver mon mariage ! Il sourit.
  • S'il-vous-plaît ? Je secoue la tête, incrédule. Il est si mignon. Et drôle. Je ricane silencieusement, dégrafe quatre boutons de ma blouse et m'agenouille, les seins à l'air. Je n'arrive pas à y croire. Je vais le faire ! J'hésite encore.
  • Ma main ne suffirait pas ? Je le saisis entre mes doigts. La queue est vigoureuse et épaisse, solide. Il soupire.
  • Si j'avais voulu une main, j'en ai deux. Je secoue la tête.
  • Les miennes savent y faire. Je presse le sexe doux. Il apprécie.
  • C'est vrai. Mais vous avez deux superbes mamelles... Vous pourriez au moins me les proposer, non ? Je me soulève et glisse la queue entre mes seins. La vérité est que je la veux dans ma bouche.
  • Comme ça ? Il ferme les yeux un instant, mais les rouvre presque aussitôt.
  • C'est tentant... Mais non, une fellation est ce qu'il me faut - mais je ne suis pas assez souple pour me la faire seul. Je ris encore en lapant enfin le gland rouge garance du bout de la langue. Il se tend. Je le gobe.
  • Jésus-Marie-Joseph...! Je glousse en l'avalant plus loin. Il souffle.
  • Oui, c'est ça, tétez-le, il apprécie... J'obtempère, le sexe roule sous ma langue, s'enfonce dans ma gorge, j'étouffe de son envie turgescente, il ondule le bassin, je glisse une main dans ma culotte et me soulage sans honte, il s'en aperçoit.
  • Et... coquine en plus... retirez-la... donnez-la moi... Je le suce plus loin. Il veut quoi ? Ma main ?
  • Votre culotte ! Oh. Je cesse de le branler et ôte ma culotte en le gardant loin dans ma bouche. Il saisit le morceau de tissu et se le fourre sous le nez.
  • Bonté divine, que vous mouillez bon ! Je le masturbe sur ma langue tendue, il se contracte, le gland gonfle et explose en jets gras sur mon visage rayonnant, je souris lorsque le sperme chaud me vrille le nez et les yeux, me coule du menton aux seins, je suce bien, je le sais, et j'aime son regard étonné de le découvrir malgré toute sa forfanterie. Il m'essuie les joues avec ma culotte, j'embrasse ses doigts au passage, et j'avale la semence, gourmande jusqu'au bout.
  • Que diriez-vous... Il halète, ébranlé. Je suis fière. Et excitée.
  • Que diriez-vous de me rejoindre au bloc lorsque j'opérerai Barbarella-au-vagin-affamé ? Vous vous mettez sous la table et si je succombe, vous me reprenez en bouche façon truffe royale ? Je ris. Je me relève, rajuste ma blouse sur mes seins nus et lui pose un baiser sur la joue en chuchotant:
  • Dans une heure, cette mammoplastie, c'est ça? Il sourit.
  • Vous feriez ça ? Je quitte la pièce en jetant ma culotte sur son sexe encore gonflé.
  • Allons, docteur, je suis une femme mariée... mais... apportez-la, on ne sait jamais...

Une simple auscultation

Un médecin entre dans la salle d'attente, blouse blanche, stéthoscope autour de la nuque. Il me regarde.

  • Vous êtes la patiente du docteur Slenk ? Je hoche la tête. Il s'assied à côté de moi.
  • Et vous avez rendez-vous à...? Je m'éclaircis la gorge.
  • 14h30. Il hausse les sourcils.
  • Vous avez une heure d'avance ? Slenk est une psy, vous savez ? Et si elle a fini psy c'est parce que... (il baisse la voix en pointant un doigt vers sa tête)... elle avait un problème là-dedans. Vous n'avez pas remarqué qu'elle est ponctuelle comme une horloge albanaise ? Je ris nerveusement.
  • Vous voulez dire "Suisse"? Il me regarde en plissant les yeux.
  • Vous arrivez une heure à l'avance à un rendez-vous et vous vous souciez d'une erreur de 1500 km ? Mmm. Intéressant. Venez avec moi. J'hésite. Il lève les yeux au ciel.
  • Je vous donne le choix entre une heure plongée dans ce magazine idiot qui vous explique comment perdre du poids avant l'été alors que nous sommes en octobre et que vous n'avez absolument pas besoin de perdre le moindre gramme, ou une heure avec moi, et vous choisissez le magazine ??? Je me lève sans réfléchir.
  • Je vous suis. Il me mène à travers les couloirs de l'hôpital.
  • Je savais que j'étais plus intéressant qu'une revue féminine. Même si j'ai moins de feuilles. Mais je peux faire maigrir les femmes aussi. Je ris.
  • Vraiment ? Il fronce le nez.
  • Vous être très ironique, pour une dépressive, je trouve ça vexant. Entrez. Il ouvre la porte d'une salle comportant un petit bureau et une table d'auscultation. J'entre.
  • Asseyez-vous. Je m'assieds, curieuse. Il sort un dictaphone et et me dit:
  • Excusez-moi un instant. Euh... quel est votre prénom, déjà ?
  • Linda.
  • Linda. Ravissant. Il appuie sur l'enregistreur et dicte.
  • Sujet, Linda, superbe femme de 19 ans...
  • ...de 21 ans, pour le protocole anti-Slenk, test 1. Il éteint son dictaphone. Je suis perdue.
  • Protocole anti-Slenk ? Il sourit.
  • Ne vous occupez pas de ça. Donc. Vous voyez le docteur Slenk parce que...? Je soupire. Il m'avait presque fait oublier ma séance.
  • Mon petit-ami est parti. J'ai besoin d'évacuer. Il s'assied devant moi, sur le bord du bureau.
  • Et vous allez voir Sorcierella-Slenk pour ça, à 72 billets la demi-heure, habillée en jupe ?
  • 72 billets ?... et…la jupe a une importance ?
  • C'était une figure de langage, ça fait plus américain comme ça, non ? Et la jupe si courte vous rend juste absolument sexy. Dommage que Slenk soit frigide. Je souris. Il y a quelque-chose de totalement insupportable chez cet homme qui le rend absolument séduisant.
  • Américain ? Comment ça, frigide ?
  • En général, je dis "albanais", mais je ne sais pas si les albanais ont des billets - je dois avouer que ma culture financière des pays de l'Est Européen est assez déficiente. Frigide et hétéro. Pourriez-vous vous lever ? Cette fois, je pouffe malgré moi. "Hétéro ?" Il insinue que j'aime les femmes ? Je l'observe mieux. Il est grand et a sur le visage une expression ironique qui cache de la douceur. Je le trouve plus séduisant qu'insupportable, finalement. Il me guide vers la table d'auscultation.
  • Placez-vos deux mains sur la table, restez bien debout... Il passe derrière-moi et soulève ma jupe courte.
  • Qu'est-ce-que...? J'écarquille les yeux quand il baisse ma culotte !
  • Docteur !
  • Oups, j'aurais dû vous demander, n'est-ce pas ? Bon, ce qui est fait est fait, autant me laisser aller jusqu'au bout. Vous pouvez me faire confiance, je suis médecin. J'hésite.
  • Allons, ne soyez pas idiote, je veux juste vous montrer combien Slenk est une incapable. Savez-vous que 93% de ses patients sont des patientes en mal d'amour ? Je me sens ridicule, les fesses en arrière, les mains sur la table, ma culotte tendue entre mes genoux.
  • 93% ? Il soulève ma jupe et l'enroule autour de ma taille.
  • 93,33% pour être précis. Avec plein de "3" derrière, vous savez comment sont les pourcentages, parfois. Jolie fesses. Petites et rondelettes. Vous êtes sûre de votre âge ? Il pose une main sur ma hanche et descend lentement.
  • O...oui... Pourquoi ? Il y a un sourire dans sa voix.
  • Vous avez un cul de gamine. Je sens mes joues chauffer. J'apprécie le compliment. Sa main glisse le long de ma fesse droite. Passe entre mes cuisses. Je retiens ma respiration.
  • Docteur... Ses doigts explorent mes grandes lèvres et s'attardent sur la perle qui y dort.
  • Simple auscultation. Ne vous formalisez pas. Écartez un peu les jambes. Est-ce que vous aimez la sodomie ? Je respire par à-coups en penchant la tête en avant.
  • Pardon ? Il n'a pas mis de gants !
  • Ne répondez pas, nous y reviendrons plus tard. Vous avez l'habitude de vous épiler aussi complètement avant de voir votre psy ? Son majeur glisse brutalement au fond de ma chatte.
  • Re-oups. Je me contracte. Je lutte pour ne pas trouver ça agréable, mais je sais que je mouille. Il est entré comme dans du beurre, il a dû s'en rendre compte. Je réponds à sa question par une autre question.
  • Vous... vous n'avez pas mis de gant ? Il m'embrasse une fesse, puis l'autre.
  • Je ne suis pas gynéco. Vous n'avez pas remarqué le stéthoscope autour de mon cou ? Les gynécos n'en portent jamais, ils préfèrent les écarteurs. Et je ne vous examine pas vraiment. Je vérifie juste une théorie. Il accélère le rythme de son doigt planté qui est maintenant largement enduit de mon plaisir coupable. Ma respiration me trahit. Les légers coups de reins inconscients qui l'encouragent à continuer aussi.
  • Une... théorie ?
  • Cambrez-vous davantage. J'obtempère un peu vite. Un second doigt rejoint son majeur. Son pouce assouplit mon anus découvert. Des étoiles noires et dorées obscurcissent ma vision. Je ferme les yeux, haletante.
  • Une théorie, oui. Slenk se paye ses Porsche avec le malheur de jeunes filles esseulées qu'elle fait semblant d'aider des mois durant, alors que... Il se lève et retire ses doigts. Il glisse quelque-chose de plus imposant au creux de ma chatte. J'ouvre grand les yeux. Son sexe !
  • Docteur ! Il colle son pubis à mes fesses et me prend jusqu'à la garde. Je m'affale sur la table, le souffle coupé.
  • Dois-je arrêter là ? Je serre les poings. Il sort, centimètre par centimètre. Je pousse en arrière et m'empale sur lui.
  • Non... Il me baise. Il n'y a pas d'autre mot. Et je le baise. C'est à peine si je sens son pouce qui entre et sort toujours de mon petit trou délicat. Je m'enfonce sur la queue épaisse en écoutant d'une oreille ses explications idiotes qui n'ont plus aucune importance, je veux juste sa bite en moi, longtemps, entièrement, et que son pouce n'arrête jamais de me fouiller le derrière !
  • Bon, ce n'est pas seulement que Slenk roule en Porsche, qui me gêne - oh, oui, cambrez-vous comme ça, j'adore - mais aussi que je suis persuadé que si les gamines esseulées baisaient un peu chaque semaine - mmmh, votre cul est prêt, je pense - les chagrins d'amour passeraient beaucoup plus vite. Alors ? Sodomie ou pas sodomie ? Il accélère le rythme de ses coups de reins et me cloue presque à la table, longuement, les minutes passent dans le silence de nos gémissements, l'envie monte dans mes reins, dans mon ventre et je jouis, soudainement, emportée par la déferlante de son audace, de sa douceur, de ses caresses et de sa loufoquerie.
  • Aahin... Il sort lentement de ma chatte et presse sa queue sur mon petit trou distendu par les attentions de son pouce.
  • Je prends ça pour un oui. Il pousse le gland entre mes fesses, les lobes s'écartent, les muqueuses trempées lui permettent de glisser sans effort et il me déflore sans hâte, je sens un vertige dans mon bas-ventre, il me remplit, je suis pleine de sa verge tendue.
  • Mmm ? Je le sens sourire alors qu'il me lutine sans se presser, comme pour me laisser le temps. Je me vois en esprit, la culotte tendue entre les genoux, le corps écrasé sur la table, les seins à l'air je ne sais pas comment, et ce médecin que je n'ai jamais vu auparavant qui me prend par derrière, comme personne ne m'a jamais prise. Il rit doucement.
  • Je suis bon pour le Nobel. Je ris aussi.
  • Ah... oui... Je me cale sur lui et le laisse m'embrocher de toute la longueur de sa queue bandée à craquer. Je ne peux plus respirer. Mon corps explose sous la tempête de sensations nouvelles. Je crie.
  • Vous... vous sentez...mieux ? Je ris à gorge déployée.
  • Oui ! Je n'ai pas souri comme ça depuis des mois. Je tremble de plaisir en me contractant autour de la bite fouisseuse.
  • Alors... l'expérience est... Il m'attrape les seins par dessous et les presse en me burinant profondément. Les coups de boutoir se font plus urgents, plus insistants, il se tend, il me pince les tétons, je me sens partir comme rarement, j'ai des fourmis dans tout le corps. Il s'arrête soudain, la queue enfle douloureusement et il se déverse dans mes tréfonds en bouillons intenses, chaque spasme brûlant est une agonie, chaque cri une délivrance. Il me lutine encore, m'enduit de ses jus et des miens, il semble ne jamais vouloir finir de se vider, mais je ne souhaite pas qu'il cesse, de toute façon. Il lâche mes seins et pose ses mains sur mes hanches, il vient et vient encore.
  • ...un succès. J'ouvre les yeux. Il me prend jusqu'à ce que je sente ses bourses contre mon vagin glabre, puis me libère, je me sens vide, je me sens pleine. Je sors d'un rêve et prends conscience de ce que je viens de faire, de ma nudité, de la salle d'auscultation, de la table trempée de sueur. Je rougis. Il me nettoie rapidement, il sourit, je ne peux pas m'empêcher de l'imiter.
  • Nous venons d'inventer la sodothérapie et (il consulte sa montre), vous serez à l'heure pour Slenk. Je me redresse, chancelante. J'ai envie de rester comme ça, à attendre qu'il ait assez d'énergie pour recommencer. C'était bon. Je rajuste ma robe puis remonte ma culotte. J'ai les fesses qui chauffent.
  • Je ne crois pas que je vais y aller. Je m'agenouille et remonte son pantalon, en caressant son sexe souillé. Il a encore un reste de vigueur. Je le masturbe lentement, reconnaissante. Il se laisse faire. Je suis dans du coton. Je sais que ce n'est pas très propre, mais j'ai envie de le sucer. Je me retiens. J'ai le souffle court quand je lui dis:
  • J'ai besoin de quelques séances avec vous pour aller vraiment mieux. Il me restait cinq rendez-vous avec Slenk... Il acquiesce d'un air gourmand.
  • J'ai toujours su que j'aurais dû faire sexologue. Mais il n'y avait pas le stéthoscope non plus, vous savez, cet objet avec une longue tubulure et deux boules molles que l’on s’enfonce plusieurs fois par jour dans les oreilles... Revenez la semaine prochaine, même heure, même tenue, même épilation intégrale. Dix séances seraient plus sûres, je vous les prescrirai. Je ris. Sa queue devient plus dure, je la presse plus fort entre mes doigts.
  • Tope-là Il s'installe plus confortablement contre la table. Je le masturbe. Je veux le voir jouir entre mes doigts, voir ce regard toujours ironique m’implorer de le faire venir à nouveau…Ce ne sera pas long.

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